discussions qui: пе sont ,point pour ипе lettF6,
permettez-moi, monsieur le comte, de voU8 faire obser-
ver; que оотте relativement. аих particnliers, се sont
tonjours leurs talents, leurs leurs quali-
physiques qi forment• la •mesure de се
qu'on ап exige;• de тёте aussi оп. attend d'un gouver-
nement, qui s'est ипопсб ponr avoir des vues• gran-
des et profo*s et роит connaih•e distinctement се еп
quoi ses soins peuvenb• •oontribuer la prosp6rit6 des
penples, qu2il •suivra dans toute son la carribre
qu51 s'est ouvete et que, пе regardant chaque institu-
tion• Mioulibre que сотте 1ев dif6rents degr6B d'une
торе ап de laqaelle il cherche pawenir, il пе
qu'autant qtN ва pruaence et ва Messe lui
feront.voir que Bouvellas vues demandent, роит 6tre
mises. еп• ex6eution, plus de maturit6 et de nouvelles
lu*res ееих sur qui l'on doit op6rer. Је pense
dohb,' gonieur •le comte, que cette nouvelle ordon-
писе estf ип grand. solemnel engagement que 8.
М. L • eb ses ont pris avec le public et avec
les pauples;. qu'ayanb d60ntr6 par cette ordonnance
ont. иве id6e• elaire et distincte de la natnre et
dest•tnuses- dB$ „riehesges •des nations, ils sont tenus
d'aghevevs donner principe qu'ils ont еи еп vue,
toaite l.'6tendlle est susceplible; et quoique per-
sonne•.peut-6tre не sente plus vivement que moi, сот-
bien. est sage de пе pas attaquer trop t0t certains
abus, gui аи уеих de l'bbservateur superfciel peuvent
paraitre et re•volbans, j'ose cependant croire,
qu'il еп est auxquels il est temps de r6medier et que
cettev0Bionnance еп а fourni le тоуеп. Permettez-moi,
monsieur Ле •comte, d'entrer avec vous lbdessus dans
q*ues d6tails. Vous aimez •les_ discussions de cette