тоуеп, qui, sans avoir les inconveniens de la. cogtrainte
par corps, parvint 6galement аи but qu'on se proposa
et у parvint d'une manibre encore plus sare, sans doute
il serait pr6f6rable; or, је pense qu'un rbglemen! sens6
sur les banqueroutes et sur la proc6dure suivre еп
pareil cas pourroit avoir et aurait n6cessairement cet
efet.
П est repu еп Ртапсез et cette rbgle fond6e sur Да
nature de la chose devroit 6tre la тёте partout, que
tout marchand et n6gociant qui n'acquitte pas ип de ses
engagements son 6ch6ance, est par celb тёте, .еп
faillite et que la banqueroute est cens6e ouverte, du
jour ой le dit marchand ои n6gociant а laiss6 protes-
ter ип de ses engagements. Malheureusement роит l'in-
t6r6t g6n6ral, cette rbgle n'est que trop souvent 6lu-
d6e; је voudrois donc lui donner ипе sanction toute
nouve!le et роит obliger, peine de voir son titre
d6clar6 пи], tout porteur d'un engagement поп acquitt6
son 6ch6ance, de le faire protester dans les vingt
quatre heures et d'en communiquer le protest dans les
тёте vingt quatre heures l'homme de la loi, c'est-
dire, се magistrat qui dans toutes les monarchies
bien constitue6s doit 6tre instant dans les afai-
res ой le public est in(6ress6. L'on conviendra sans
doute, qu'il n'est аисипе espbce d'afaire ой le public
ait ип int6r6t plus majeur.
L'homme de la loi, instruit de la banqueroute par la
communication du protest, devrait l'instant se faire
remettre par le failli ипе liste de ses cr6anciers, les
assembler dans les vingt quatre heures, et de concert
avec еих, soit recevoir du failli son bilan s'il se trou-
vait fait, soit l'obliger le faire et le remettre, пе
lui donnant роит cela que le temps indispensablement