dernibre clause•, ont •complbt6 la ruino des propri6taires
de fefs.
Је пе suivrai point les chefs du parti r6publicain
dans les moyens qu'ils ont employ6s pour entretenir
l'efervescence du peuple et роит la porter son
comble... Је пе dirai rien des d6vastations, des incen-
dies et des massacres, excit6s dans la vue d'obliger
les propri6taires abandonner le royaume, dont les
auteurs, toujours impunis et encourag6s, .jouissent аи-
jourd'hui d'une consid6ration scandaleuse... Ле те tai-
rai тёте sur l'afaire d'Avignon, qui а fait voir jus-
чи'ой l'homme pouvait aller, quand ипе fois il avait
perdu de vye les principes de la morale. Mais, m'ar-
r@tant principalement sur се qui regarde les fnances,
је prierai votre excellence de suivre avec moi les dif6-
rentes mesures que la n6cessit6 de supp16er аи d6fcit
dans le revenu leur а arrach6 les unes aprbs les autres.
Les assignats 6tablis, les domaines royaux et les
biens du clerg6 mis еп vente, оп пе tarda pas s'a-
percevoir que, quoiqu'on e0t fait pour еп forcer la va-
leur, cette ressource serait bien insuffisante роит faire
face des besoins qui, sans cesse croissants, rendaient
incalculable la masse des assignats qu'on serait 0blig6
de livrer la circulation, et il fallut imaginer de пои-
veaux expbdiens.
Еп d6cretant la vente des biens nationaux, оп avait
rbserv6 les for6ts qu'ont avait regard6 сотте impor-
tantes conserver. Еп d6pouillant le clerg6, еп lui don-
nant ипе nouvelle constitution, оп avait crn devoir
accorder des )ensions аих 6cc16siastiques dont оп sup-
primait les b6n6fces, et cette foule d'individus des
deux sexes que la suppression des monastbres avait
rendus la soci6t6. Ces pensions btaient .bien modi-