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тнАтвв DE ь'нвмйА0Е.

ai"ment alarm6e: il vous aime, il vous estime, il пе parloit

que de vous, lorsque vous п'у 6tiez раж

Mde. DE СОВВЕС. Et que dioit-il ?

М. RENABD. Que voas aviez mille belles qualit&... Que vous

66ez sa femme... Entre аи&е... Ch6rie...

Mde. СОВВЕС. П diwit cela? Нет, oui, oui, il m'aime...

Mais, enh•e поив wit dit, је пе те fe ри trop се bel amour.

М. RENABD. Et par quelle raison, s'il vous plaft?

Mde. ПЕ СОВВЕС. Parce que... Parce qu'il n'aime que soi-

тёте; пе voyez-vous рад qu'il se сапе toute la jonrn6e vis-bvis

de lui-mbme ои des autres, et que tqutes les niaiseries qu'il fait,

il les prend et veut qu'on les prenne pour des merveilles.

М. RENABD. Mais vous bt,es si belle, si intbrsante!

Mde. DE Соввво. Et vous, bien obligeant, monsieur Renard.

Mais r6ellement cela?

М. REHARD. Ю1! qui пе le voit раз!... Vous gAterez vos

beaux уеих еп pleurant souvent de la sorte.

Mde. СОВВЕС, remettant доп mogchoir еп—е. П faut

avouer qu'un mari est ипе 6trange chose.

М. RENABD. Une 6pouse qui joint, сотте vous, madame, la

beaut6 l'esprit, la vertu, sait toujours tirer parti d'un mari,

tel 6trange qu'il purroit 6tre.

Mde. DE СОВВЕС. Croyez-vous cela, monsieur Renard?

М. RENABD. П faudroit ete bien incr6dule pur п'еп

рад persuad6; cela est prouv6 depuis long-temps.

Mde. DE СОВВЕС. Аи fond, топ mari est ип bon diable.

М. RENARD. П fait tout се que vous voulez, madame.

Mde. ПЕ CORBEC. Dit-on cela, monsieur Renard?

М. REHABD. L'on пе doute nullement de l'ascendant que

vous avez sur lui.

Mde. DE СОВВЕС. 0h! поив nous aimons beaucoup.

М. RENABD. Vous 6tes parfaitement aimables tous les deux.

Mde. DE СОВВЕО. Је те Hatte cependantd'btre mieux 6lev6e

que lui.