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М. RENABD. Votre 6ducation а 6tb tru-soign6e, се que
m'ont dit monsieur et madame votre тё1•е.
Mde. вв СОВВЕО. Vous conviendrez, је pense, qu'ils sont
bien entendus tous les deux, et d'une charmante soci6t6.
М. RENABD. 0h, infniment, madame! Ils le seroient bien
plus encore, si madame votre тёте n'avoit рад cette surdit6 dont
elle est continuellement tourmentbe, et monsieur votre seroit
singulibrement 610quent s'il n'6toit рад Ьёдие.
Mde. СОВВЕС. L'6ducation de топ mari а 6t.6 bien plus
n6glig6e que la mienne; c'est de que sont venus tous les d6faub
que vous lui voyez.
М. RENABD. Des d6fauts, madame! et qui п'еп а рад?
Mde. ПЕ СОВВЕС. Qu'entendez-vous
М. RENABD. Cela s'entend, madame; r6ellement tout le reste
du monde еп а, exceptb vous.
Mde. ПЕ СОВВЕС. Vous те Hattez, monsieur Renard.
М. RENABD. Point du tout, madame; је dis се que је pense.
Mde. ПЕ СОВВЕС. Ausi топ mari et moi nous vous aimons
beaucoup cause de vote sinc6rit6.
М. RENABD. Је vous rends mille g•ra— madame•, j'ose dire
que c'est pr6cis6ment par ой је brille.
Mde. CORBEO. П faut que nous pensions les deux
vous faire ип cadeau.
М. RENABD. Је suis p6n6tr6 de vos bont6s.
Mde. ПЕ CORBEO. Nous nous doutons que vos afaires wnt
d6rang6es; que vous mourez de faim, monsieur Renard.
М. RENARD. temps sont durs, l'argent est rare, le pain
extbmement cher.
Mde. ПЕ СОВВЕС. J'ai d$ propos6 топ mari de vous
retirer chez nous, maisil fait la sourde oreille. Vous nous tiendriez
compagnie; vous btes d'une s(R.i6t.6 соште il nous la faudroit.
М. RENABD. Ah, madame!
Mde. DE СОВВЕС. П faut que топ mari соттепсе par vous
donner ип aute habit; gelui que vous avez paroft ип реи пвб.