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тнат 1.,'НПШТАОВ.

МАВТОН, а ОИДя. Les еп=В Etoient-ils bien

CBISPIZ. Les ennemis! la ennemis! tu te moi...

Et qui diable а afaire —ntement ces Оп пе Bit

plus ой la touvc•, ils ont ап du то— il fut aller loin

pnr les &ouver c.enx-li: ils d&ient du qu'ils voyoient.

МАВТОЯ. Que faisiez-vous alors?

CBISPIN. Се que поид faisions? La Ые demude! Nous

apru епх, wmme da chiens de cha& la

les voir; j'avois toujours envie de crier tayaut, tayant, pur

ressemblance plus Maite.

Mde. du Рот. Cela devoit fort gai.

СВШРШ. А se tenir les c6t6s, surtout quand ils 6toient loin.

МАВТОН, а O•ispin. Et quand ils 6toient pru, quefaimis-tu?

CBISPIN. Је rwulois, еп sifHant.

Mde. du Рот Et purquoi cela?

CBISPIH. Par ruse de guerre, madame, pu.r та•е appro-

cher. Demandez monsieur Bontems, топ maitre, il conte mieux

que moi.

Mde. du Рот. Vous пе dites mot, топ cher neveu.

ВОНТЕМВ. J'ai si реи de m6moire, та tante, qne j'oublie

ев bagatelles-li, dbs qu'elles sont •pas6es.

СВИРЖ. C'est pure modestie de la part de monsieur.

BONTEMS. Des r6cits pareils sont еппиуеих mourir.

Mde. du Рот. Рад pur moi.

CBISPIN. Partageons, monsieur, vous conterez vos сатрадпев

вит terre, et moi les n0tres sur mer.

Mde. du Рот. Vous avez servi sur terre et sur mer?

CBISPIN. Мёте еп l'air, et dans le feu; tous les quatre 616mens

retentissoient du bruit de под actions h6roiques.

МАВТОН, а Crispin, Ее tirant рат son habit. Crispin!

CBISPIN, а Marton. Eloigne-toi, profane, le d6mon de 1а

guerre m'agite.

МАВТОЖ, а Crispin. Il те semble que tu mens.