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des exigences des Cabinets qui, пе pouvant restaurer

еп 1815 1'ancien royaume, voulaient du moins mbnager аих

Polonais ип шоуеп que le temps devait d6velopper.

C'est ainsi que la g6n6ration qui se forma depuis 1815

s'expliquait et acceptait les dons des Empereurs.

Оп п'у voyait pas ипе grace, mais ипе exigence forc6e

par les conventions que des 6v6nements devaient faire 6clore.

Toutes les institutions dif6rentes de сеих du reste de

l'Empire, que la des Empereurs octroya la Pologne,

et qui distinguent si fortement les deux Etats, servent main-

tenir dans l'esprit des sujet8 de coupables esp6rances. Se

croyant btre ип Etat distinct, les Polonais se rattachent par

leurs voux, leurg souhaits, поп l'Empire, mais апх autres puis-

sances europ6ennes.

Le d'ailleurs des Polonais s'6tant form6 d'apru

la fausse position dans laquelle ils se trouvent 1Mldant plus

d'un sibcle, leur fait attacher plus de valeur аих apparences,

qu'au fond des choses. Cette attraction, qu'ils 6prouvent pres-

que exclusivement vers les les rend incapables d'ap-

pr6cier leur vraie position. Plus donc les dehors auront ипе

apparence quelconque de corncider avec leurs calculs, plus ils

auront les уеих tourn6s vers l'occident de l'Europe; саг, сотте

еп 1815, de тёте aujourd'hui ils pr6ferent attribuer la соп-

servation des signes ext6rieurs et de l'organisation 86par6e

de pr6tendues garanties extorqtk par les cabinets 6tran-

gers, la c16mence magnanime de leur Souverain.

Сотте је l'ai dit plus haut: c'est ainsi qu'on s'expliqua

g6n6ralement еп Pologne еп 1815 les clauses qui la concer-

nent dans le trait6 de Vienne, et c'est аих тёти inauences

qu'on attribue aujourd'hui encore се qui apparaft сотте соп-

servation du dit trait6.