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tion аи sujet des employ6s votre mission а 6t6 еп-
tibrement approuv6e par l'Imp6ratrice, et nous allons
proc6der l'ex6cution de се nouvel arrangement.
12.
P6tersbourg, le 6 juin 1791,
M-r Adeir т'а remis la lettre dont vous l'avez bien
voulu charger роит moi; il в'а рати justifer pleine-
ment tout le bien que vous еп dites et tout l'intCret
que vous prenez lui; si par la suite је puis lui 6tre
de quelque utilit6, је т'у emploierai avec zble et
empressement.
C'est aujourd'huy que поид remettons аих ministres
de la ligue anglo-prussienne notre r6ponse аи m6moire
sec et malhonn6te qu'ils nous ont d6livr6. Notre r6-
ponse, quoique plus mod6r6e et plus douce, п'еп est
pas moins ferme, car nous пе nous relBchons еп rien
sur les principes que поив avons 6tablis et annonc6s.
Сотте nous voulons que notre courrier qui vous porte
la communiciafon de ces deux 0Tces puisse pr6c6der
le leur, је vous d'avance de peur de retenir le
courrier et рат cons6quent је пе suis pas еп 6tat de
vous rien marquer de la mine que ces messieurs аи-
ront faite еп recevant leur paquet. Peut-atre сереп-
dant trouverai-je le тоуеп de vous еп dire ип mot
par aposflle, et је le ferai avec grand plaisir. J'aurai
l'honneur de vous dire, еп attendant, que l'Imp6ratrice
est la seule qui entre bien d6cid6ment dans les vues
de courage et de fermet6 que vos rapports aussi bien
que la situation des choses auraient d0 6galement ins-
pirer tout le monde. Notre capitoul, је veux dire le