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si(lbrant се parti sous le point de vue d'une r6se.rva-

tion de droit et d'une indication аих bien-intentionnbs

d'un centre de r6union autour duquel ils puissent se.

ranger, оп пе saurait. се те semble. le regarder сот-

те hasard6 et tout-Mait inutile. Nous пе pensons pas

ici поп plus qu'il puisse compromettre encore davan-

tage la situation du јеипе roy ои des prisonniers du

Temple еп gdnbral:

il semble, аи contraire, que si les

sc(ldrats qui les oppriment sont capables de quelque

calcul r6f16chi, ils еп auraient plus que jamais sujet

de les bpargner, пе mt-ce que роит пе pas laisser pas-

ser Monsieur et son fNre ип droit encore plus fort

et plus imposant que celui qu'ils portent prbsent. Telles

sont du moins les considerations qui. jointes а,их 0l)i-

nions que l'Imp6ratrice avait pr6c6demment 6nonc6es.

lui ont fait la loi de reconnaitre les deux oncles du

roy de France r(gnant ои bien captif. се qui est plus

juste, dans les qualit6s qu'ils ont prises. Elle s'est ех-

pliqu6e avec les cours de Vienne et de Berlin sur ces

principes et dans се sens.•

М. le prince Bariatinsky, murekchal de la cour, et le

prince Youssoupofr m'uyant vu la jolie брбе pla.qube еп

от que vous avez еи la bonte; de m•envoyer. m'ont

prie; (le leur еп fhire. venir chacun ипе, pareille. Је

vous supplie, monsieur le comte, de vouloir bien vous

donner la peine d'en faire fTire, l'emplette et de те. la

faire parvenir рат la oc,casion de courrier. M-r

Baxter ои Southerland еп d6bourseront les fi•aix et les

tireront (l'abord sur ces deux princes. J'ai fait honneur

la traite qu'ils ont f6ite sur moi pour le, тёте objet.

Nous avons la nouvelle, que, пн• votre est (l6jh

heureusement Moscou. Le comte (UArt,ois arri-

ve ici demain ои apr&-demain. Cette 6quip6e те ра-

rait bien plus; d6plac6e que rautre.