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тнПтвЕ ПЕ Ь'НЕВМПАДЕ.
Mde. RICHABD. Et qui dit cela, monsieur Grosdos?
qui vous dit cela?
GBOSDOB. Је vous dis се qui те paroft.
Mde. RIOHABD. А vons il vous paroft, et moi il пе те
paroit рад encore.
GBOSDOS. Vous feriez bien de cornlter li-dessus le
de mademoiselle votre flle.
Mde. RIOHABD. Le gott de та Rlle! vraiment il puroit la
mener faire ип mariage qui n'auroit pas le sens соттип.
GBOSDOS. Trouvez-vous qu'il у ait du веш соттип dans le
parti qui se pr&ente?
Mde. RICHABD. Ј'у r6R&hirai.
GB0BD0B. Entendez-vous, monsieur Maigret, madame у
r6R&hira.
МАШВВТ. Је т'еп vais dire топ neveu que Мате у
r6R6chit.
GBOBDOB. Revenez tant0t, monsieur Maigret, revenez tant0t
quand madoe апт еп le d'y r6f&hir.
Mayret М.
Mde. RIOHABD. R6f6chMns donc, monsieur Gro—r6R6-
chisons.
GBOSDOB. Fort bien, madame, commenpns. Par ой сош-
mencerons-nous ?
Mde. RlCHABD. Par ой? mais је pense qu'il faut commencer
par le commencement.
GBOSDOS. C'est la marche naturelle des chosa
Mde. RIOHABD. Mais ой est се commencement?
GROSDOS. Се purroit bien 6tre dans се cas-ci la pr•tion
du neveu de monsieur Maigret.
Mde. RIOHABD. Croyez-vous qu'elle m6rite onsid6ration?
GROSDOS. C'est selon.
Mde. RICHABD. Vous avez raison.
GBOBDOS. Vo&e flle est еп Аде d'6tre mari6e.
Mde. RIOHARD. П est vrai; mais il п'у а rien qui pres.