BAGE АРХ PBOVBBEB.

МАВТОН. Mais fniras-tu?

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JASMIN. Elle rit сотте cela. Il rit. Ти ris, је репу?

МАВТОН. П seroit diffcile de r6sister l'envie de rire, еп

voyant се que tu dis de ta madame Cantin.

JASMIN. Elle n'est pas moi. Respectez, 8'il vous plait,

Marton, la tante de топ maitre. Је parie que tu es

curieuse de la voir. Tiens, топ bras, је te menemi chez

elle, si tu veux; pour c6ans elle п'у viendra р.

МАВТОН. Је n'ai pas le temps d'aller voir des cnriosit6s

pareilles.

JASMIN. Et vient?

МАВТОН. C'est que nous sommes fort оссире pendant tout

се temF-ci.

JASMIN. et quoi, s'il vous plait?

МАВТОЖ. Crois-tu que c'est реи d'ouvrage, que de se соп-

former continuellement аих caprices divers d'une qui еп

а tous les јошв de nouveaux? Que pensa-tu qu'elle fait depuis

que поив иттев de retour еп ville?

JASMIN. Mais i-peu-prU quat•e toilettes par jour; puis elle

fait quelques visites, ои еп repit; et pour varier plaisirs,

elle ртотёпе wn ennui par les rues de la ville, dans ип carrosse,

рв рад.

МАВТОН. 0h, cela va sans dire. Mais outre cela, elle est

jour et nuit оссирбе faire des proverbes, les jouer, еп

mendier tout le monde. Les uns lui еп promettent et п'еп font

point, d'autres 6vitent sa pr6sence crainte d'&e pers6cut6s: il у

еп а qui suent sang et еаи еп faire par complaisance; еп ип

mot, elle met tout le monde sur les dents, et se fatigue elle-m6me

l'.rit еп trouver, еп faire, еп jouer.

JASMIN. devenue folle?

МАВТОН. Non, поп, рад tout-bfait; mais је la cois malade.

JASMIN. Et de quelle maladie?

МАВТОН. De рад d'autre assur6ment que de I.,A AUX

PBOVnBES.