ЬА AUX PROVEBBES.

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parfaite, et que је serai toute autre que le reste des femmes,

dont il dit beaucoup de mal, et de vous aussi, та tante.

TANTINE. Et que dit-il de moi?

ROSALIE. П dit que vous 6tes trop que vous рто-

mettez souvent се que vous пе puvez tenir, et que la plupart du

temps vous пе savez се que vous dites.

TANTINE. C'est ипе bien m6chante langue, que се monsieur

Jeunet; il пе faut pas que vous l'6coutiez: c'est ип 6vent6. Et

monsieur Vieuteau, que vous dit-il?

ROSALIE. П dit que de sa vie il п'а vu femme laide; que

jeunes ои vieilles, ses уеих toutes les femmes sont des beaut6s

parfaites et vous aussi, та tante.

TANTINE; C'est ип ton asur6ment trU-fatteur роит nous.

Mais, quel conseil vous donne-t-il?

ROSALIE. D'btre douce, aimable, впв afectation, d'une

humeur 6gale, et de пе jamais parler ni trop haut ni trop bas.

TANTINE. Се conwil est fort bon, mais diTcile remplir.

ROSALIE. Pour moi, та tante, dire la v6rit6, је n'entends

rien tout cela; il те semble que је пе saurois ёћ•е фе autre

que је пе snis.

TANTINE. Vous paroissez avoir de l'humeur aujourd'hui, et

еппиубе que de coutume.

RosALIE. Mais, сотте cela, та tante: il est diffcile de

n'6tre pas еппиубе quand оп п'а рад се qu'on d6sire.

TANTINE. Que d6sirez-vous donc?

RosALIE. 0h! vous те gronderiez pourstr, sivonslesaviez.

TANTINE. Mais encore que pourroit-ce btre?

RosALIE. Vous vous flcherez.

TANTINE. Non, поп, dites toujours.

ROSALIE. Eh bien, та tante, је voudrois etre ой j'6tois.

TANTINE. Ой? аи village?

R0BALIE. 0ui, та tante.

TANTINE. Mais lorsque vous 6tiez аи village, l'on т'а dit

que vous souhaitiez passionn6ment d'btre еп ville?