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ТНЈЛТВЕ Ъ'НЕВШТДОЕ.
Mde. R10HABD, GBOSDOS, ROSALIE.
GBOSDOB. Ма±е Richard, vous revenez precis6ment, lors-
que j'allois vous joindre.
Mde. RICHABD. Је пе doute point que vous пе soyez d'accord
avec та flle; је т'еп r6jouis, de tout топ coenr,
GBOSDOS. joie, madame Richard...
Mde. RICEABD. Que је vous embrasse, та flle!
ROS'ALIE. VolOntiers, татап.
Mde. RICHABD. Vraiment, је suis dans la joie de топ coeur.
GBOSDOS. Et de quoi, madam•e Richard?
Mde. RICHABD. Voili ипе ЈпдиИёи•е question, de quoi! de
quoi! maiB de се que је •pense que vous avei еи le don de persua-
der та flle d'6pouser Те neveu de monsieur Maigret; је vous еп
ai bien de l'obligation, c'est ип vrai offce d'ami.
GBOSD08. Et qui vous а dit cela, madame Richard?
Mde. RICHARD. Qui те l'a dit! Је l'ai suppos6.
ROSALIE. Матап va toujours vfte еп besogne, etcroit6ternel-
lement deviner la fn de chaque chose.
Mde. RICHABD. C'est que је n'ai рад l'esprit paresseux, et
l'entendement сотте certaines personnes.
GBOSDOS. А qui madmeRichard?
Mde RICHABD. Tout droit vous, monsieur Grosdos.
GROSDOS. Comment! vous те grondez, moi!
ROSALIE. C'est bien fait, татап, il l'a m6rit6.
Mde. RICHARD. П faut 6tre aussi mal-adroit que vousl'6tes,
monsieur Grosdos, pour пе pas savoir persuader ипе ptite flle
faire ип parti avantageux.
ROSALIE. Матап, vous avez raison; il пе ш'а ditrien qui vaille.
GBOSDOS. Mais voyez ип реи, la ptite m6chante! Qu'est-ce
donc que j'ai dit?