son oncle. eroyaient devoir, рат amiti6 роит lui, l'aver-

tir que s'il s'en retoarnait Ferhey оп allait lui faire

d6fense expresse d'en sortir, et de revenir jamais

Paris; qu'ils esp6raient qu'enfm m-r de Voltaire se

cette raison, puisqu'il avait rejet6 toutes

les autres; que m-r le duc de Praslin viendrait еп соп- •

f6rer le soir avec elle, afn de ticher d'arranger le

tout сотте l'on conviendrait.

Је l'ai [епи се billet infernal *), rempli du plus hor-

rible тепвопде; је le regarde. et је l'appelle l'arr@t de

mort de топ maitre. C'6tait Paris ой les pr@tres se

pr6paraient le pers6cuter, puisque тёте ils

chaient d6B avec v6h6mence contre lui еп chaire.

Quelques jours avant, је t6moignais m-r d'Alem-

bert combien il 6tait n6cessaire .que m-r de Vottaire.

роит •sa sant6 eL sa tranquillit6, retournit Ferney; il

те r6pondit,:

„Il пе s'en ira pas, је vous le promets.

Pardieu, il n•est pas encore аи bout“. М-г Do la Lande

те r6p0ndit aussi qu•on l'empdcheraib bien de partir.

M-r d'Alembert fit 61ire m-r de Voltaire directeur de

UAcad6mie Fransaise, се qui l'obligeait de rester аи

moins mois Paris.

M-r De la Lande vint avec tous les francs-mayons

prier m-r de• Voltaire de se faire recevoir dans leur

soci6t6, ils lui Erent signer son пот sur leur registre, б-

xbrent le jour роит sa r6ception. Је refusai, quoique

franc-mayon moi-mdme, de l'accompagner: tant j'6tais

6tonn6 et r6volt6 des singulibres et petites d6marches

que l'on faisait, qui toutes tendaient аи тёте but de

le retenir Paris. Celle-cy attira du ridicule sur се

vieillard.

*) Је le trouvai dans les cendres de la chemin6e mad. Denis.