Н п'у eut plus alors de тевЬоигсё.2Се• qu'on lui avait
fait prendre .porta la те-8Ф, oceasionna ипе T6tenti0T
d'nrine et ensuite la дапдгёпе. Le malade soufrait des
dou}eurs inouies. Les tmins, les remues Faftafchissants
que lui ordonna т-т Tronohin quand оп l'eat appel6,
пе pouvaient le soulager; tout fut inutile, le mal 6tait
devenu incurable. Il а 6t6 ainsi pendant vingt јо urs.
M-r de Voltaire alors sentit toute l'horreur de son
6tat, сотте il avait 6tt; tromp6 *),
combien il ava.it
еи tort de quitter sa .douce retraite. Il пе voulut. plus
rien prendre et flt sortir tout le monde avec. de vifs
reproches.
Dbs que sa maladie parut s6rieuse il recommanda
que. l'on m'6crivtt de revenir sans d61ai.-Au lieu de cela,
оп flt аи contraire les dbfenses les plus expresses de
те donner avis. de l'6tat se trouvait топ mattre•—
И пе cepsait de: те de—nder, eb оп l'assurait чие је
пе tarderais рав .d?arriver. •Il• m'6epivit еп pr6sence de
m-r Tronehin, .та" опь retint •la •ldtre•. Је l'ai appris
de т-ц. Tponohin, quand топ retour Ра-
ris те fit les plus grands reprouhes de n'6tye pas
venu' sur-le-champ aupt.'bs de. топ maitre; mais il $ut
bien suxpnis d'apprendre. чие та lettre avait 6t6 inter-
cept6e.
*) Voyez les lettres qu'il т'а 6crites; il те dit dans ипе ces propres
mots: „Ah! qn'on т'а tromp6!$
**) Је regas ,trois lettres цоп signces et d'unc 6criture inconnue, dans
lesquelles оп те le mandait; оп те suppliait de les jeter аи fct1* afn
que сеих qui les 6crivaient пе pussent pas etre compromis. J'ai еи cette
d61ieatesse, арти xwpendant les avdic faites lire leur rbception plus
de vingt personnes. J'6tais dahs ип 6tat• horriblo, et .loin d'avoir terminb
les afaires роит lesquelles оп m'avait envoy6, је n'osais les abandon-
пет (пе recevant аисипе nouvelle, ni аисип ordrej pour courir аи se-
eours de топ mattre.