climat aussi oppos6 аи n0tre pourrait occasionner

parmi. nos troupes. Mais toujours cet inconv6nient

пе serait-il pas aussi grand que celui de la guerre,

dont nous paraissons menac6s.

Је reyois de fr6quentes lettres de m-r votre fi•bre

et toutes 6crites de sa main. Cela те comble de јоуе

еп achevant de те tranquilliser sur sa sant6. Рат сев-

te poste-ci j'ai тери de lui la permission d'aller аих

еаих de Barbges. Сотте еп tout 6tat de cause је

n'aurais ри еп profter que dans l'espace de cinq

six semaines, j'espbre que d'ici се tems4 les пиа-

ges disparaftront de notre horizon politique.

63.

Paris, се 14 (26) mars (1803).

Quand vous verrez, monsieur le comte, le fls de

m-r et de т-те Divof vous remettre cette lettre, vous

douterez de leur prudence ои de leur zble роит le

premier consul, ои bien vous soupponnerez leurs in-

tentions dans le choix du moment qu'ils ont choisi

роит faire aller leur fls еп Angleterre. Il п'у а rien

de tout cela; ils ont simplement voulu profter du re-

tour d'un Anglais dans sa patrie, qui а fr6quent6 leur

maison. Quoiqu'il еп soit, је profte de cette осса-

sion, роит vous remercier de votre lettre du 21

de се mois, dont .vous avez charg6 ип courrier

napolitain. J'ai vu le marquis de Gallo се matin; il

т'а fait part de се que lui mande son collbgue Lon-

dres. Il paratt d'aprbs cela que tous les esprits еп Ап-

gleterre Sont mont6s la guerre. Је п'еп serais fAch6

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