avec la ferme r6solution de пе plus revenir si ипе

fois il а pass6 le canal.

70.

Paris, со 20 тау (1 juin) (1803).

Depuis les lettres que m'ont apport6es de votre part

le comte de Pahlen et m-r Divof, је n'ai ри trouver

аисипе occasion de vous 6crire. Је пе suis pas•mdme

bien s0r de celle qui se pr6sente aujourd'huy. C'est le

s-r Manderville, ип des secr6taires de lord Withworth,

qui part се soir, се qu'on т'а dit, et que j'essayerai

de charger de cette lettre. П n'est pas venu те voir,

et је пе sais pas тёте s'il pourra passer le Рад de

Calais. Vous seavez sans doute toutes les chances

qu'ont courues ici les Anglais pour retourner chez еих.

C'est le ministre des relations ext6rieures qui leur don-

пе des passe-ports, mais il parait que les ordres аих

commandants des ports пе passent pas par lui. Quoi-

qu•il еп arrive, је consignerai ici tout 6v6nement се

que j'ai vous dire sur les dernibres lettres que vous

avez еи la bont6 de m'adresser. Ј'еп ai communiqu6

m-r de Talleyrand tout се qui т'а paru devoir

l'6tre. J'ai cru que ces ouvertures еп provoqueraient

quelques-unes de sa part, mais је те suis tromp6.

Il s'est renferm6 dans de pures g6n6ralit6s. Је lui

ai fait рай, coinme de mes seules id6es, des ba-

ses de convention ои de d6claration signer ren-

ferm6es dans le papier cy-joint et parfaitement апа—

logues се que j'ai l'honneur de vous еп marqner.

П т'а r6pondu que chacune de nos bases pouvait ser-

vir ипе ouverture de n6gociation, mais п'а pas