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serait trbs-glorieuse et relbverait рат ип fait 6clatant

la consid6ration publique dont elle commeneait d6-

choir. Si vous etes du тёте avis, monsieur le comte,

proposez la chose chez nous. Ici tout le monde s'ac-

corde croire que се serait le seul тоуеп d'6viter la

guerre. Оп т'а assur6 que dans la јощ•пбе d'hier оп

а envoy6 des courriers dans tous les ports pour aver-

tir d'6tre еп garde.

64.

Paris, се 4 avril 1803 п. st.

Је profte du d6part du courrier ordinaire pour Lon-

dres роит vous transmettre les copies de deux rapports

que j'ai adress6s m-r votre рат la poste d'au-

jourd'huy. Ils vous mettront аи fait de l'6tat des choses

ici, tel que је le vois du moins.

Le courrier qui est arriv6 hier mylord Withworth

а 6t6 charg6 роит moi d'une caisse ои d'un paquet

qui а 6t6 retenu par la douane de Boulogne, par ой

се courrier а pass6. J'ai adress6 ипе note m-r de

Talleyrand pour lui porter plainte de се proc6d6 et

lui .demander la restitution de l'efet d6tenu. J'ignore

се que c'est; је n'ai rien demand6 personne de Lon-

dres et је crains qu'en efet il п'у ait de lettres de

votre part.

Је vous demande еп grace, monsieur le comte, d'ap-

puyer l'insinuation que је fais d'btablir, еп cas de тё-

diation de notre part, le sibge de la nCgociation

Londres plutOt Paris. 0utre la raison чие j'ai

all6gu6e, је vous proteste sans аисипе flagornerie que

је vous crois plus fait que moi pour la conduire. Vous