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voulu m'authoriser les proposer par votre entremise

аи cabinet d? S-t James. Il n'est pas difHcile de voir

par li qu'on п'а еи d'autre intention que de trainer

les choses еп longueur. Оп m'assure cependant qu'on

cherche ouvrir ипе n6gociation, mais c'est par la

voye de men6es sourdes et d'intrigues subalternes.

Voyant cette disposition, j'ai јидб топ ministbre ab-

solument inutil9, et j'ai pris le parti de proflter de la

permission que j'ai d'aller аих еаих de Barbges, Ј'еп

ai pr6venu m-r de Talleyrand, еп le priant de dire аи

premier consul que је пе т'у d6terminais qu'autant

qu'il пе jugerait pas que топ absence pourrait inauer

еп rien surun prochain r6tablissement de la paix entre

les deux puissances. M-r de Talleyrand а voulu que

је misse. cette proposition par 6crit. Ј'у ai consenti et

j'attends la r6ponse depuis trois jours. Је пе т'еп ос-

сире pas moins de pr6paratifs pour топ voyage, pr6-

voyant fort bien que tout cet 6change d'6crits n'abou-

tira qu'au d6sir qu'on а de convaincre encore davan-

Че la nation frangaise des desseins pacifques du рте-

mier consul. Еп attendant оп а аппопсб

l'ambassadeur de Naples que les ordres de faire

entrer quinze mille hommes dans le pays d'O-

trante sont exp6di6s, et que се» troupes seraient

entretenues аих frais du гоу de Naples. L'6lectorat de

Hanovre doit 6tre d6jh оссирб. J'ai fait quelques ten-

tatives роит terminer l'afaire du roy de Sardaigne;

mais m-r de Talleyrand m'ayant r6pondu qu'on пе рои-

vait pas dans се moment-ci s'occuper d'un objet

aussi secondaire, j'ai сти пе pas devoir у insister da-

vantage, d'autant plus qu'il пе т'а pas paru conve-

nable de s'occuper de nouveaux trait6s tandis • que је

voyais enfreindre aussi manifestement les anciens