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6tait ип colosse de puissance sur mer, сотте la Fran-
се l'6tait sur terre. Је lui ai r6pondu que puisque le
destin а voulu qu'il у eot des colosses, il nous соп-
vient qu'il у еп ait deux plutot qu'un, роит рои-
voir аи gr6 de nos convenances rendre l'un des
deux encore plus colossal et tenir par l'autre еп
bride; que сотте се principe d'inter@t est incontes-
table, celui de la dignit6 s'y trouve parfaitement ren-
ferm6; qu'au reste је le priais de revoir notre acte
avec l'Angleterre et qu'il trouverait qu'on lui а mal
repr6sent6 les choses cet 6gard. C'est Dreyer, le
ministre danois et son bas valet, qui lui suggbre ces
id6es. Il serait bien d6sirer que cet homme f0t re-
tir6 d'ici.
А l'arriv6e de mylord Cornwallis et la r6ception
de la lettre que vous avez еи la bont6 de m'6crire par
lui, је fus le chercher trois jours de suite sans рои-
voir le trouver; enfm le quatribme il vint те voir. Је
те suis inform6 de lui s'il avait autorisation de рат-
ler et d'agir еп faveur du roy de Sardaigne; ilme тё-
pondit que les instructions cet 6gard n'6taient nulle-
ment pressantes, qu'il mettrait bien се sujet еп avant,
mais qu'il пе pourrait gubre у insister, attendu que le
roy de Sardaigne n'6tait point l'alli6 de l'Angleterre
et que par тёте ellb n'avait pas le droit de trai-
ter pour lui. Је l'ai revu ипе seconde fois, et le rame-
nant sur le тёте sujet, је lui proposai de mettre pour
cela еп јеи la Turquie. Il а encore d6clin6 cette pro-
position. Је vais vous la d6velopper, m-r le c-te, dans
ипе lettre offcielle que је joindrai celle-ci, еп vous
priant de п'еп faire usage que lorsque vous l'en ји-
gerez digne dans votre sagesse. M-r Jackson 6tant
venu те voir aujourd'huy, је lui еп ai 6galement parl6,